LA VÉNUS AU PARAPLUIE

THIBAUD GAUDRY

Une rencontre, un coup de foudre se racontent à travers toutes les pages. Certes, une voix masculine nous narre cette histoire. Ce point de vue se lit facilement.

PSYCHOPOMPE

AMÉLIE NOTHOMB

Ce roman se divise en trois axes principaux : son rapport à l’écriture, son amour pour les oiseaux, l'ornithologie et sa croyance qu’il y a une vie après la mort. Je me suis retrouvé dans ses trois passions et j’ai pris un plaisir à découvrir le point de vue d’Amélie Nothomb. Ce n’est pas aisé de parler toujours de soi au fil des pages. La lecture de ce livre est aisée et rapide.

Un combat pour ma santé prend une autre tournure ces jours-ci. Toute ma gratitude vont à toutes ces personnes de bonne volonté, elles ont fait un cheminement certain, parsemé de doutes, de questionnements, de certitudes et de compétences. Je les remercie du fond de mon cœur. 

Par où commencer, j'arrive à définir le début de ma gêne en 2009 par la découverte un petit point qui s'irrite au bout de ma jambe gauche et qui va prendre de l'ampleur. Mon rapport avec ma santé démarre par une non acceptation d'un mauvais dysfonctionnement. Je refuse de voir la réalité et une sorte d'optimiste béat prend le dessus. Cela ira mieux demain. Sur le déni vient se greffer de l'orgueil, de la pudeur, de la gêne et de la honte. 

Avant toutes ces anomalies, j'ai traversée une période traumatisante : un divorce perturbant où j'ai du puissé dans des ressources insoupçonnées. Je suis sortie la tête haute de ce combat entre un être séduisant mais infect dans la vie de tous les jours. Une rencontre avec les fleurs de Bach m'ont permis de définir mes émotions, de mieux les comprendre et surtout de mieux les apaiser.  

La suite demain ...

SOURIRE

Sur un banc près de l’ancien plan de la prison,

On assied dans l’attente d’une autre aire.

Un enfant aux yeux plus profonds et beaux

Retiens une rose sauvage à la main,

Idéalement voilée, une femme l’accompagne

Regards s’échangent dans nos couleurs profondes

Et là, avant de partir, il m’offre cette belle fleur.

Véronique Dubois