7 novembre 2008
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17:26
L'Amour pour sa Mère
est un sentiment
Humain,
si Noble
si Beau et
si Doux,
que Dieu lui même l'a envié à
l'Humanité et a voulu l'avoir.
Bossuet
Véronique Dubois
-
dans
Albums photos
7 novembre 2008
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Véronique Dubois
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Faits historiques
7 novembre 2008
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Zèles décuplées de l'enregistreuse,
Élucubrations autour de cet engin,
Raleries endommagées au téléphone,
Ondes négatives sur le rouleau de contrôle,
Tirades figurées serveur un, serveur deux,
Et tout cela pour mieux inspecter
Rentrées et sorties dans ce bistrot.
© Véronique Dubois
7 novembre 2008
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Force de constater dans ce monde individualisé,
Rigueur et volonté à tout prix séparer et
diviser,
Attention aux conséquences non immédiates,
Tables rases de nos belles relations enfantines,
Rigueur renouvelée à tout prix séparer et
diviser,
Indécisions balancées et barricades de gains,
Camouflage d'une générosité à peine voilée,
Indivision d'un partage voulu et non élucidé,
Décidément les malsaines répétions vont bon
train.
Et si la lucidité vient s'interposer, elle est vite balayée.
© Véronique Dubois
6 novembre 2008
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Fantaisie pour une Cerise
Le vent te défrise, Cerise, ô Cerise
Tu marches sur la plage, le soleil s’est caché
Tu dois prendre grand soin de ta fraîche beauté
Car ta peau se dessèche sous l’ardeur de la bise.
Ta grande gourmandise, Cerise, ô Cerise
Va te jouer des tours si tu n’arrêtes pas
D’avaler chaque jour entre tous les repas
Gâteaux, gaufres dorées et riches friandises.
Pour te faire une surprise, Cerise, ô Cerise
Je vais faire l’ascension d’un mont vertigineux
Pour cueillir une fleur au parfum merveilleux
Si je n’y parviens pas, je me ridiculise.
Tes amis sont comblés, Cerise, ô Cerise
Car tu leur portes à tous une sincère affection,
Tu sais les consoler s’ils sont dans l’affliction
Cela vaut une bise, Cerise, ô Cerise.
Roméo Romain 2008
Véronique Dubois
-
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Présentation d'un poète
6 novembre 2008
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07:02
Torride sous tes habits blancs et de lumière,
Univoque dans ton passé phénicien et romain,
Nerveuse dans les tourbillons de tes squares,
Insoupçonnée dans tourments
de ton port,
Salutaire, tu te libères dans ta fluidité.
© Véronique Dubois
Véronique Dubois
-
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Villes- Pays
6 novembre 2008
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Comme une rose sauvage
Brûlée par le soir
Perdant le sommeil
L'absence
Suspend les saisons à tes paupières
La chevauchée du rêve rebelle
Quittant la frémissante rosée
Par les matins
Où s'évade la lumière
Lumière après lumière
S'effritent les années
Aux confins des injustes frontières
Lueurs impénitentes
Alliées aux réminiscences des aurores.
Cette porte depuis longtemps
Ouverte à la mer
Pour accueillir le vent sans abri
Dans la course des heures
Dans la nuit inconsolable
Des vagues venaient
Reposer leur âme pourpre
Comme ton souvenir
Ou les feux de l'océan
L'écume laissée là
Sur le seuil
Fleur de sel
Dans les bras de l'éphémère
2002
Site : tahar.bekri
Véronique Dubois
-
dans
Présentation d'un poète
5 novembre 2008
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07:46
Originaire d'un grand continent d'une richesse inouïe,
Bercées, des douces illusions d'amélioration percent.
Alluvions se déposent sur nos fermes conceptions,
Maîtrisons la joie, les décisions de ces femmes blanches,
Audacieuses, elles ont misé sur l'intelligence universelle.
© Véronique Dubois
5 novembre 2008
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Véronique Dubois
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dans
Présentation d'un poète
4 novembre 2008
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07:35
Courrir dans ses longues allées.
Omettre aucune idée, aucune denrée.
Utiliser toutes les ruses et astuces.
Ratisser dans un temps record,
Sagement saga et consorts.
Eviter les retours de clavier
Saluer au passage les caissiers.
© Véronique Dubois
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